"UNE GUERRE E LIBÉRATION ÇA SE PRÉPARE…"

L’on ne se lève pas un matin, surtout, quand on est au crépuscule de son parcours politique, pour lancer de vains mots prônant la "guerre de la libération" ou "la souveraineté" au nom d’obscurs principes que nous continuons toujours d’ignorer. Cela n’est rien d’autre que jeter le peuple en pâture à un holocauste sur l'autel des entreprises du crime international.
Vous dire qu’il faut tirer des leçons de notre échecs n'est pas synonyme de capitulation ou résignation, mais plutôt une façon de reculer pour mieux sauter.

Soutien donc au combat du président Pascal Affi N'Guessan dont le président Gbagbo Laurent est aujourd’hui (et j'en suis sûr) fier depuis sa cellule de Scheveningen. Pendant que certains rasent les murs de la honte, le président du FPI-FRONT POPULAIRE IVOIRIEN est dans une offensive diplomatique qui ne dit pas son nom, présent à toutes les grandes rencontres internationales dans son rôle de chef de l’opposition, démontrant ainsi que le ‪#‎FPI‬ est un parti sérieux et respectueux des défis démocratiques tout comme son fondateur en tant que leader politique. Seuls les défis démocratiques permettront en effet le retour du FPI au pouvoir d’état et ce, dans un climat d’apaisement et une réconciliation vraie de tous les ivoiriens qui exigeront et impliqueront la libération de nos illustres prisonniers.

Affi avait proposé avant octobre 2015 qu’il fallait battre Dramane aux urnes, parce que c’est lui qui donne du grain à moudre aux dossiers du président Gbagbo. Le 25 octobre 2015, Mamadou Koulibaly avait bien dit que c’est Dramane qui avait les clés des prisons où se trouvent nos illustres prisonniers, et le battre aux élections devrait être une solution pour les voir revenir.
Mais leurs stratégies avaient pour seul objectif de débouter un adversaire interne en oubliant le vrai adversaire à qui ils font les yeux doux depuis 2011. Souvenez-vous de ces têtes de la fronde que Dramane choisissait en ciblant ses opposants à travers cette résolution 1975 (2011) de l' Organisation des Nations Unies (ONU), adoptée à l’unanimité de ses 15 membres, aux termes de laquelle le Conseil de sécurité, réaffirmant qu’il souhaite vivement que la crise post-électorale soit réglée de manière pacifique, décide d’imposer à M. Gbagbo Laurent et à quatre membres de son entourage ( Simone Ehivet GBAGBO son épouse, Pascal AFFI N'guessan le président de son parti, TAGRO DESIRE et Alcide Djédjé) des sanctions concernant un gel de leurs avoirs financiers et une interdiction de voyager. Jamais un membre de la tête de la fronde n’avait été inquiété et indexé.

Pour moi c’est être trop tendre avec ses amis en les qualifiant d’aile dure du FPI, ils sont simplement pour moi les traîtres qui ont fragilisé le régime GBAGBO LAURENT en permettant à Alassane Ouattara d’arriver à bout et ils ont récidivé encore le 25 octobre 2015 à travers les présidentielles. Sinon comment expliquer que des gens qui ont dit après leur congrès de ‪#‎Mama‬ qu’ils ne devaient participer à aucune élection tant que Gbagbo sera en prison et qui contre toute attente, après avoir brandi les 9% octroyés à Affi décident d’aller aux législatives après avoir boycotté la présidentielle de 2015 ?

Une révolution se prépare et non à la façon des frondeurs qui obéissent à un agenda venu des entrailles des tenants des intérêts de la françafrique. Ils reprochent à Affi de marcher avec des occidentaux pendant qu’eux, ils se baladent sans faux-fuyants avec les Michel Galy, Houdin et un certain Guy Laberty qui a quémandé pour qu’on mette son nom sur une liste socialiste en France. Il y a blanc et blanc, nous on ne fait rien avec des loosers qui mangent à tous les râteliers de la françafrique, Pascal Affi N'Guessan travaille avec des décideurs de ce monde et pas à n’importe quel prix.