La vaine tentative de Jeune Afrique de salir le président AFFI .

Published on July 8 2015

 La vaine  tentative  de Jeune Afrique de salir le président AFFI .

Prétendu sondage d'opinion sur le président Pascal Affi N'guessan: Jeune Afrique prêche du faux dans le désert.

Tenter de discréditer le président candidat Pascal Affi N’guessan au moment ou la crise au FPI est derrière nous, est un non événement.
On ne parle plus de publicité car Jeune Afrique de François Soudan n’a pas forcement besoin de ce débat périmé pour vendre ou pour plaire.
Par contre, ce qui nous intrigue, c’est l’attitude de certains pro Gbagbo qui se réjouissent de ce plébiscite narquois dit majoritaire, décrété par un magazine à la solde de Ouattara Dramane, or les mêmes reprochent à la presse Ivoirienne dans son ensemble, de faire souvent "la passe" au président Pascal Affi N’guessan, oubliant par défaut, que nous sommes en démocratie...

Le sujet principal évoqué à cet effet et qui donne à saliver dans la presse et sur les réseaux sociaux, est la prétendue minorité flanqué à Pascal Affi N’guessan, qu'il aurait prétendument reconnu.
Il n’est peut être pas incongru d’évaluer la force de tel ou tel personnage politique, mais il est incorrecte d’affirmer à dessein, des confusions pour amuser la galerie.

Pour parler de majorité ou de minorité, il est plutôt mieux de se référer au contentieux électoral de 2010 ou Laurent Gbagbo fut opposé à Ouattara Alassane. C’est cela le vrai débat, ou l’un, le plus populaire c'est-à-dire Laurent Gbagbo a prouvé sa majorité au suffrage universel et l’autre avec une majorité de fait, accidentellement et frauduleusement soutenu par la communauté internationale s'est imposé aux ivoiriens.

Au regard de cette situation, évoquer une certaine minorité du président Pascal Affi N’guessan face au président Laurent Gbagbo est une fuite en avant, un faux débat, car dans le fond, la crise interne au FPI à laquelle Pascal Affi N’guessan a fait face a démontré par des faits justifiables dont le récent congrès, qu’il ne souffre d’aucun handicap majoritaire au FPI. C’est le lieu d’établir la nuance entre les enjeux au sein du parti et les autres enjeux.

Pour rappel, le FPI fut phagocyté dans la crise par la galaxie patriotique avec plusieurs mouvements appelés "satellites", puis enfin, La Majorité Présidentielle ( LMP) dès l'annonce de la candidature du président Laurent Gbagbo à la présidentielle de 2010.
Alors, d’où vient-il qu’à ce jour on ne puisse plus faire la différence entre sympathisants, amoureux de l’homme et de son idéologie, qui ne sont pas tous forcement des militants du Front Populaire Ivoirien, parti que dirige Pascal Affi N’guessan.
Le problème se poserait, s’ils étaient de facto reconnus militants du Front Populaire Ivoirien, or pour la plupart qui se reconnaissent en l’homme Gbagbo, ils ne sont pas militants du Front Populaire.

Le militant adhère à l’idéologie du parti et se soumet à ses symboles.

En Afrique, le culte de la personnalité fait plus la politique que l’idéologie elle-même, on s’identifie plus à un personnage politique qu’à son idéologie, on prend même souvent prétexte de son combat alors que c’est sa personne qui intéresse le mieux. c'est cela le péché objectif en politique sous nos tropiques.

Partout, comme dans certains pays il y’a des exceptions de symboles qu’on ne peut citer et comparer, car les typologies sont spécifiques et exclusives, une sorte d’espèce rare parmi les humains.
Pour la Cote d’Ivoire, nous avons feu Felix Houphouet Boigny, bien qu’étant le fondateur du PDCI, il s’identifie plus dans l’universalité comme étant le père de la nation Ivoirienne, tout comme Laurent Gbagbo qui s’identifie plus dans l’universalité comme le père du multipartisme en Cote d’Ivoire plus que le fondateur du Front Populaire Ivoirien qu’il est et qui rétrécit par contre sa popularité.

Il est donc bien évident qu’on les identifient par des néologismes pour le symbole des marques qu’ils représentent et qu’ils ont imprimés et sédentarisés à travers des générations d’ivoiriens, d’un coté les houphouetistes et de l’autre les Gbagboistes ou les pro Gbagbo, aujourd’hui galvaudé du fait des travers égocentriques.

Or, vouloir mettre les pros Gbagbo d’un coté et Pascal Affi N’ guessan de l’autre dans la balance pour voir qui pèse quoi est malicieux, tendancieux et séditieux car cette pratique ne saurait être la bonne approche, puisque le président Pascal Affi N’guessan est lui-même le plus proche collaborateur du président Laurent Gbagbo qui aura le plus accumulé les fonctions de foi, pour sa confiance mérité auprès de l'homme.

Il ya certes eue une crise interne au FPI, mais est ce que vous croyez que cela pourrait fait perdre si facilement à Pascal Affi N’ guessan, la qualité de sa fibre à la fois partisane, militante et fraternelle que Jeune Afrique veut tenter de noyer face à l’idéal de son combat pour la libération du président Laurent Gbagbo?

Il convient cependant de signaler que Jeune Afrique joue bien son rôle dans cette adversité pré électorale qui effraie Ouattara Alassane, pour cela il met à l’épreuve du découragement, la psychologie et le mental de tous ceux qui croient en la candidature du président Pascal Affi N’guessan, en encourageant la forfaiture des prétendus supporters du "Gbagbo ou rien", non seulement pour diviser davantage la grande famille Gbagbo et par conséquent, affaiblir au maximum le maillage électoral au profit du digne successeur du président Laurent Gbagbo récemment désigné candidat par les militants du Front Populaire Ivoirien à la course présidentielle de Octobre 2015.

Non satisfait d’instaurer progressivement des germes de troubles aux ingrédients de Djihadisme, Ouattara Alassane veut museler l’électorat, et c’est Jeune Afrique qui a décidé d’entrer en scène pour remuer le couteau dans la plaie, en vue de réaliser un semblant de sondage dans l’opinion pro Gbagbo, pour voir réellement ce que pèse Ouattara Alassane et non ce que Pascal Affi N’guessan pèserait à priori.

Laurent Gbagbo ne pèse la majorité que par le travail qu’abat le FPI, son parti que dirige le président Pascal Affi N’guessan.

Donc si Laurent Gbagbo pèse c'est que Pascal Affi N'guessan pèse et c'est ça qui est la vérité...

Written by Eburneainformation

Published on #politique nationale

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R
Eclipse-toi de Facebook et epargne-nous tes ecris qui n'ont aucun sens, Clement Nadaud. Tu causes des maux de tete aux lecteurs!!
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